01.21 – revue Boustro

Stéphane Lambert publie le texte Les cendres du rêve américain dans le 9e numéro de la revue littéraire Boustro, animée par Karel Logist et Pascal Leclercq.

Avec des textes de Jean Bastien Tinant, Henri Alain et Olga Mathey, et des illustrations de Benjamin Monti.

06.11.20 – Ecriture première

Dans la foulée d’un précédent ouvrage intitulé Art Poems publié en 2018 dans la même collection, ce recueil est composé de brèves suites consacrées à la création picturale, depuis l’art pariétal jusqu’à la création la plus contemporaine, que ce soit à travers les oeuvres de Mark Tobey, de Lee Ufan, de Gerhard Richter ou encore d’Evi Keller.

La poésie de Stéphane Lambert demeure parole d’ouverture et plus particulièrement encore lorsqu’il s’attarde à la création picturale appréhendée comme avènement d’un événement.

La Lettre Volée – Collection « Poiesis »
210 x 140 mm, 104 p
ISBN: 9782873175610
17,00

Tirage de tête de 25 exemplaires accompagnés de gravures orignales d’Evi Keller (en souscription)

18.06.20 / Être moi, toujours plus fort / nouveau livre

Ostende, début XXe. Un jeune peintre mélancolique, Léon Spilliaert, scrute la mer à travers l’obscurité. Il porte un nom flamand ; admire son compatriote Ensor ; est hanté par la géométrie instable de sa ville natale et par la vie secrète des apparences et des ombres.

Un siècle plus tard, Stéphane Lambert revient sur ses terres, et entreprend à son tour ce même voyage géographique où les pensées se confondent à l’univers trouble du peintre. Car l’art est toujours un miroir poreux.

Stéphane Lambert, par la grâce de ses intuitions et de son regard, saisit la quintessence du pouvoir hypnotique de l’œuvre de Spilliaert.

Arléa-Poche n° 256
texte inédit
128 pages – 10 €
ISBN : 9782363082237

20.06.19 – Le vrai héros s’amuse seul

Dans le nouveau numéro de la revue Les Moments littéraires (n°42, juin 2019), Stéphane Lambert publie des extraits de ses carnets entre 2005 et 2009 sous le titre baudelairien Le vrai héros s’amuse seul. Une mise à nu de l’envers de la création.

« 26/04/2007
Je fais tout pour avoir mine d’aller bien. Peut-être que je vais bien ? »

07.03.19 – Visions de Goya / nouveau livre

Visions de Goya
L’éclat dans le désastre
éditions Arléa

 Deux siècles après leur composition (1819-1823), dans un monde confronté à de nouveaux enjeux de taille, Stéphane Lambert se penche sur l’extraordinaire cycle des peintures noires de Goya pour sonder leur inépuisable actualité. Par cette plongée dans l’imaginaire de ses hantises les plus entêtantes, le peintre espagnol avait transfiguré tous les genres picturaux de l’époque et bouleversé durablement la vision de notre humanité. 

Goya (1746-1828) a tout traversé, les humiliations et les honneurs, les assauts de la maladie, la guerre et les remous de l’Histoire, avec le fabuleux don de transformer les ravages en occasions de révolutionner son art. Revenant sur le riche et long parcours d’un artiste de génie, le livre prend la forme d’un voyage à travers une oeuvre professant la vitalité inébranlable de la création face à la menace du chaos.

 

10.03.18 – Art Poems

Livre composé de brèves saisies poétiques qui nous parviennent d’oeuvres antiques pour se prolonger au coeur de l’art d’Anish Kapoor, de Mark Rothko, de Cy Twombly et de James Turrell, notamment. L’enjeu de ces suites concerne bien l’art du poème dès lors qu’il se confronte à des oeuvres picturales pour en dégager les signes sensibles les plus manifestes. Poésies et oeuvres picturales participent d’un même monde, et d’une même expérience du monde bien que, nous le savons, selon des modalités formelles toutes différentes. L’auteur subjugue par la rigueur dont il fait preuve, par la précision de ses observations sur le vif et sa compréhension des processus de création comme de l’effet qu’elle produit sur cette plaque sensible qu’est le corps traversé de désirs, toujours sujet à cette versatilité de l’identité qu’il incarne.

La Lettre volée – Collection Poiesis
15 € – 72 pages
ISBN: 978-2-87317-505-4

Les Moments littéraires 39

Fin janvier 2018, parution d’un texte inédit de Stéphane Lambert, La Maison qui n’a pas existé, dans le nouveau numéro des Moments littéraires, revue de l’écrit intime, avec un dossier consacré à Boris Cyrulnik.

Extrait :

« Je roule lentement le long du large boulevard de mon enfance. Comme toujours, je ralentis devant le bâtiment rouge de mon école primaire. Derrière la haie, je devine la cour de récréation. Nos jeux, ce monde qui était le nôtre, enclos dans un si petit espace qui nous paraissait si grand. Rien n’existait en dehors. Et surtout pas ce regard que j’étais devenu, qui se posterait là, un jour, dans l’impossible lointain, de l’extérieur… »

04.01.18 – Fraternelle mélancolie

Fraternelle mélancolie

Melville et Hawthorne, une passion

Le 5 août 1850, alors qu’il travaillait à son livre sur la baleine, Herman Melville rencontra Nathaniel Hawthorne, dont le roman La Lettre écarlate venait de connaître un tel succès qu’il l’avait propulsé au rang de plus grand écrivain américain.
Entre les deux hommes allait naître une amitié littéraire aux accents passionnels. Quelque seize mois plus tard, paraîtrait Moby Dick, que Melville dédierait à son nouvel ami.
À cette relation complexe de deux êtres qu’un même fond de mélancolie rapproche et que des tempéraments opposés séparent, Stéphane Lambert entrelace des éléments de vie romanesques, et des interrogations sur la création, la fraternité ou le désir.
Écrire devient alors une autre manière d’aimer.

Arléa – Collection La rencontre
10,00 € – 220 pages
ISBN : 9782363081506