L’Adieu au paysage

«Aussi intelligent que sensible.»

(J.B. Pontalis)

«Devant les « véritables poèmes chromatiques » que sont les toiles testamentaires de Monet qui y sont exposées, [Stéphane Lambert] fut comme saisi de vertige. Il en tira par la suite une méditation nourrie d’informations mais surtout empreinte de sa sensibilité poétique.»

(Jacques Franck, La Libre Belgique)

«Pari tenu, L’Adieu au paysage est une troublante méditation autour des oeuvres presque « métaphysiques » de ce grand maître. Avec une sensibilité poétique peu commune, l’auteur nous fait voyager dans l’univers de ce peintre que la culture universelle a trop souvent réduit à un objet commun, une image décorative et rassurante. L’écriture de Stéphane Lambert, d’une grande sobriété, se met délicatement au service de la plasticité de l’ouvrage, riche d’illustrations nombreuses. Ainsi cette balade méditative nous invite à poser un regard nouveau sur le cheminement d’un peintre résolument moderne.»

(Delphine Lambert, Le Carnet et les Instants)

«Le très beau texte de Stéphane Lambert rend hommage aux Nymphéas de Claude Monet ; entraînant le lecteur au fil d’une méditation poétique, il questionne une œuvre qui, en se projetant dans un au-delà de la peinture paysagiste, devient un laboratoire de la modernité et ouvre le chemin vers l’abstraction.»

(Galeries Nationales du Grand Palais)

«Cet ouvrage restitue de l’intérieur l’approche de l’artiste et son apparente opposition à l’avant-garde des années 1920. A travers une prose aux frontières de la poésie, l’auteur nous emmène dans un voyage intime avec Monet et permet ainsi de retrouver le fil d’une création qui mobilisa le peintre les quarante dernières années de sa vie.»

(Musée de l’Orangerie)

«Un très beau texte de Stéphane Lambert rend sens et magie aux Nymphéas. Un cycle gigantesque qu’il habite d’une prose inspirée, souvent vibrante… Stéphane Lambert en réactive le trouble et le mystère…»

(Danièle Gillemon, Le Soir)

«Stéphane Lambert publie une longue méditation poétique sur l’oeuvre de Claude Monet, et en particulier sur les Nymphéas… Ce texte semble sourdre lui-même de l’oeuvre comme l’approche de la nature et de ses puissants secrets a pu sourdre sous les pinceaux du peintre. C’est qu’au fil des questions imposées par l’oeuvre, Lambert jette sur celle-ci, comme sur la vie même de son auteur, un regard intérieur susceptible d’éclairer l’unité et la quintescence d’une vision artistique… On aura compris que le propos se situe à mille lieues d’une visite guidée, mais qu’il propose au lecteur de poser sur l’oeuvre, au-delà des pâmoisons de salon, un regard intime où il puisera ses propres illuminations.»

(Ghislain Cotton, Le Vif/L’Express)

« Stéphane Lambert pointe avec beaucoup de justesse l’invention et déploiement des Nymphéas au moment où la première guerre industrielle déchire les corps, comme si le paradis de la peinture offrait une possibilité de rédemption alors que le mal triomphe. […] Dans un texte usant avec bonheur de la parataxe et des phrases nominales – à la façon du Lenz de Büchner traduit par Jean-Pierre Lefèvre –, Stéphane Lambert célèbre avec Monet le siècle nouveau, une ère de renaissance par le végétal et les couleurs en gloire… »

(Fabien Ribery, blog L’Intervalle)

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