Nicolas de Staël. Le vertige et la foi

« Vous vous êtes approché au plus près de mon père. Que peut-on faire de mieux dans la vie ? si ce n’est s’approcher au plus près de ceux qui vous touchent. »

(Anne de Staël)

« [Votre livre] est une magnifique introspection du personnage et ce que vous soulevez tape la plupart du temps dans le mille. Il fallait ce livre pour y voir mieux encore. Il redonne tous les mouvements de cet être complexe et restitue son incroyable profondeur. »

(Gustave de Staël)

« Stéphane Lambert redonne voix et vie au tempétueux Nicolas de Staël. Son livre tient avant tout de la variation poétique ou de la promenade inspirée… Comme dans Rothko, rêver de ne pas être […], Stéphane Lambert se montre attentif à l’insaisissable, à ce qui se dérobe et se défait… Il est au plus près de l’art obstinément magique du portrait – cette convocation douce et résolue d’une âme. »

(Sophie Pujas, Art Press)

« Dans un jeu de correspondances, de coïncidences troublantes et de semblants de rapprochements, Stéphane Lambert glisse dans la psyché affolée de l’un des géants de la peinture… revivifie une vie qui n’est que peinture…  consigne les tourments de plus en plus inconciliables avec la vie ordinaire… Topographe sensible, l’auteur appréhende avec le peintre l’expérience d’un feu transparent… Palpitant. »

(Veneranda Paladino, Dernières Nouvelles d’Alsace)

« Passionnant. »

(Jean-Marie Wynants, Cinquante degrés nord/Arte Belgique)

« Un brillant essai sur le difficile équilibre entre le vertige et la foi. »

(Jean-Marie Wynants, Le Soir)

« Une méditation très intense et très personnelle… Une térébrante dissection, dans une langue admirable, du couple vertige et foi dans la trajectoire de Staël. »

(Jacques Franck, La Libre Belgique)

« Un livre emportant et envoûtant. »

(Paul Hermant, RTBF)

« En douze chapitres clairs, précis et bien rythmés, Stéphane Lambert livre une approche fine des vertiges et des angoisses de cet écorché vif, pris par sa fièvre visionnaire, sa solitude et une tragique fragilité. »

(Alain Favarger, La Liberté de Fribourg)

« Magnifique essai biographique sur Nicolas de Staël. »

(Bruno Thibault – University of Delaware, Nouvelles Etudes Francophones)

« Stéphane Lambert signe avec cet ouvrage consacré à Nicolas de Staël, Le vertige et la foi,  un livre fin, sensible et informé… Pour retracer et surtout appréhender dans toute sa sensibilité et profondeur la vie et l’oeuvre de cet aristocrate slave, […] orphelin et exilé à l’âge de huit ans, il fallait assurément un trait de plume sachant manier tant la couleur que les tons, l’intime et la lumière, les fulgurances, les vertiges et les gouffres. »

(L.B.K., Lexnews)

« Parmi les événements de 2014 qui célèbrent [l’]oeuvre fiévreuse et visionnaire [de Nicolas de Staël], on retiendra tout particulièrement le beau texte de Stéphane Lambert, Le vertige et la foi… Un petit livre intense et nerveux à l’image de son sujet… »

(Thibaut Baladier, Vox Patrimonia)

« Un livre étonnant. »

(Emmanuel Couly, Le Républicain de l’Essonne)

« Notre auteur peut bien dire qu’il n’est pas historien de l’art et se défendre, en tête de volume, d’avoir fait une biographie. Son entreprise, qui tient de l’essai et de la fiction, selon ses propres mots, tient là un atout majeur, car sa démarche lui permet de recréer comme un double celle du peintre, tant elle démontre combien l’oeuvre et son auteur tiennent ensemble, dans une relation qu’il tente au mieux d’approcher sinon de définir clairement. »

(Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants)

« Stéphane Lambert parle de peinture en poète… avec une finesse intuitive qui va de pair avec un savoir sûr… Ce livre, bien plus qu’une glose de plus sur un artiste commenté, déjà, par divers spécialistes, marque la rencontre, « par delà les eaux sombres », d’un écrivain personnellement très impliqué (certes érudit mais sans le moindre jargon) et d’un artiste dont l’engagement dans son œuvre tenait, comme chez un Van Gogh, de la quête d’absolu, souvent au bord du gouffre… S’il y a de la fragilité dans ce livre, avec une exposition sensible rare dans le genre, c’est que Stéphane Lambert suit Nicolas de Staël jusqu’au bout de sa nuit, au bord extrême du « balcon fatal », quitte à  revenir in extremis  du côté de la vie où l’œuvre de Nicolas de Staël nous rappelle que l’art, à sa façon, est plus fort que la mort. »

(Jean-Louis Kuffer, blogs littéraires Passion de lire & Carnets de JLK)

« Stephane Lambert s’intéresse aux artistes porteurs d’un feu intérieur, aux regards incandescents, aux existences brûlées […] Pour comprendre un tel feu sacré, il n’est pas douteux que l’essayiste ne fût lui-même, le temps de sa composition, habité par des déchirures ardentes. Le peintre est son frère volcanique, comme les Goya, Rothko, Spilliaert et Beckett sur qui il a écrit, maîtres en illuminations et vibrations crépusculaires. »

(Fabien Ribery, blog L’Intervalle)

Stéphane Lambert a été également invité des émissions Un autre jour est possible (France Culture), Affaires sensibles (France Inter), Le Grand Charivari (RTBF – Musiq3),  L’Essonne en Auteurs (Demain TV).

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