Monet, impressions de l’étang

« Comme toujours avec Stéphane Lambert, qui s’est brillamment intéressé à Goya, Van Gogh ou De Staël, les mots sonnent comme des notes et les images surgissent… On assiste à la création des Nymphéas où, malgré sa cataracte, l’artiste capte les couleurs qui se brouillent et le parfum de l’eau. »

(Connaissance des Arts)

« L’impression d’un reflet, un éblouissement… Ce récit à quatre voix nous plonge à l’intérieur du cheminement vers l’oeuvre. »

(James Benoît, L’Oeil)

« Une vie reconduite, avec discrétion et panache… [Stéphane Lambert] semble en osmose avec ce qui se passe, proche du drame, dans le temps de la création…  Voilà qui nous est transmis avec passion et lucidité. »

(Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants)

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