Nicolas de Staël. La peinture comme un feu

« L’écrivain Stéphane Lambert, auteur de nombreuses biographies d’artistes, retrace dans ce très bel ouvrage la brève trajectoire – mais ô combien intense – de celui qui a donné sa vie à la peinture. […] Un flamboyant portrait en clair-obscur. »

(Inès Boittiaux, Beaux Arts Magazine)

« Au long de son magnifique ouvrage sur le peintre, cet essayiste au regard d’aigle raconte le cheminement artistique de Nicolas de Staël […] Richement illustré de toiles célèbres comme méconnues, de photographies et de documents d’archives inédits, ce très beau livre invite à redécouvrir la vie de ce peintre exilé […] on sent battre dans ces pages le coeur de Nicolas de Staël […] La fureur de vivre de cet éternel voyageur […] est racontée avec précision, justesse et pudeur pour éclairer l’oeuvre qu’elle nourrit. »

(Marie Sawisza, L’Oeil)

« Ayant assurément demandé un travail considérable, La peinture comme un feu est un texte biographique ample, précis, vibrant d’intuitions, constamment porté par la conscience de la précarité absolue de toute vie. « 

(Fabien Ribery, blog L’Intervalle)

« Dans ce très beau livre dont les reproductions sont d’une qualité à souligner permettant au lecteur de se confronter au mieux possible avec les oeuvres, Stéphane Lambert qui a publié également des ouvrages sur Van Gogh, Paul Klee, Mark Rothko, cerne au plus près l’homme et son oeuvre. Il suit la trajectoire fulgurante et ce continuel voyage sur une mer incertaine de l’artiste. […] Habité par le sujet, Stéphane Lambert signe un magnifique portrait de cet homme solitaire, ombrageux, solaire, orgueilleux et compassionnel, faisant ainsi vivre Nicolas de Staël par-delà son rayonnement et son anéantissement. »

(Dominique Vergnon, Le Salon Littéraire)

« [Un] très beau livre d’art signé Stéphane Lambert… »

(Fabrice Gaignaut, Transfuge)

« Le beau livre, en tous sens, que Stéphane Lambert consacre à Staël […] reconduit l’oeuvre à son feu primitif et ses incandescences successives, feu profane et surtout feu sacré. »

(Stéphane Guéguan, La Revue des deux Mondes)