Chapelle du rien

« Le poète dans un lieu solitaire se révèle ici incurablement réceptif et lyrique. »

(Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants)

« Imprégné de ce lieu d’origine et de fin, bouleversé sans doute par ce que provoque un dépouillement aussi extrême que construit, Stéphane Lambert livre un recueil où des notations brèves, fulgurantes quelquefois, alternent avec des proses courtes comme jaillies des tréfonds. »

(Geneviève Bergé, Journal des poètes)

« Des poèmes qui puissent dire les enjeux de cette Chapelle du rien, entre beauté et pourriture, entre « selles » et « croix dépareillée ». En cinq stations […] aux beaux titres […], l’auteur serre les significations d’un engloutissement […] pour qui veut percevoir ces paysages du vide, ces frémissements de paupières, « la lumière froide » des réalités happées par le cœur et l’œil. »

(Philippe Leuckx, Francophonie vivante)

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