« Stéphane Lambert n’écrit pas sur la peinture, mais depuis elle, en elle, à partir de l’intensité d’une rencontre dont il n’entend pas étouffer le mystère sous des grilles théoriques rendant inerte le geste de création […] Le pinceau pense et la pensée dessine : c’est à cet endroit que l’expérience picturale de Fabienne Verdier (portée par la perception de l’interdépendance entre tous les éléments du réel) et l’expérience de Stéphane Lambert nouent un dialogue aussi rare que vibratile […] Fabienne Verdier. Les formes de l’invisible nous donne à voir et à entendre une composition à deux voix, nous mène dans un voyage initiatique auquel a donné lieu une rencontre entre deux sensibilités aimantées par l’exploration de l’in-su. »
Coup de cœur de Véronique Bergen dans Le Carnet et les Instants
« Du spirituel dans l’art… »
Fabien Ribery dans son blog L’Intervalle
« Stéphane Lambert n’en finit pas d’interroger les peintres. Non dans une intention biographique, et pas davantage pour se peindre lui-même face à leurs œuvres. Il y va bien plutôt d’une quête commune à eux et à lui, dont l’objet, toujours dérobé, est dans le cheminement même qui cherche à l’atteindre […] Une telle volonté de « se tenir au plus près du vivant » et de toucher ainsi à « une cohérence derrière l’infinie diversité », Stéphane Lambert parvient à nous la faire ressentir elle-même comme une continuité travaillant sous les variations qui modulent l’œuvre. Une volonté qu’il partage, et qui renoue avec un des grands rêves de la modernité picturale mais aussi, et depuis Flaubert, littéraire : transgresser les limites de l’existence individuelle pour « plonger vers l’inexprimable de la matière ». »
Pierre Ahnne dans son Nouveau blog littéraire