Vincent Van Gogh, l’éternel sous l’éphémère

« Ton livre sur Van Gogh est splendide, éblouissant. »

Bernard Plossu

« Un livre tout en sensibilité et poésie. »

(Pascale Daubas, librairie Carré d’Art à Nîmes – coup de coeur dans Le Point pour le festival de la Biographie)

coup de coeur du magazine L’Oeil
« Avec la régularité d’un horloger, Stéphane Lambert publie chaque année un ouvrage sur un artiste, avec une prédilection pour les créateurs au destin cabossé. Inévitablement, sa trajectoire ne pouvait que rencontrer celle de Van Gogh. Et faire des étincelles. Car, comme souvent, c’est brillamment écrit, avec finesse et juste ce qu’il faut de style pour être enlevé sans céder à l’emphase facile. Le tout en une centaine de pages, ce qui en fait le format idéal pour une première découverte de l’artiste. »

(Isabelle Manca-Kunert, L’Oeil)

« Dans L’Eternel sous l’éphémère, [Stéphane Lambert] nous parle de Van Gogh, rien de moins. Comme toujours avec lui, il ne nous raconte pas le peintre mais il le devient et il nous entraîne avec lui, et c’est encore une belle réussite ! »

(coup de coeur de Déborah Danblon dans La Librairie Francophone / France Inter)

« Dans une quête spirituelle éperdue traversée par la lumière de l’art, l’écrivain suit le fil des œuvres et des lettres laissées par le peintre au gré de son douloureux itinéraire. En résulte un portrait intime d’une humanité terrible. À lire d’une traite… »

(Florelle Guillaume, BeauxArts)

« Un texte qui s’impose par la richesse d’invention d’un artiste visionnaire, ignoré de son vivant, et par la puissance du style de Lambert. » 

(A.-M.M., La Marseillaise)

« Stéphane Lambert, toujours aussi frémissant et pointu dans l’analyse de l’oeuvre – et de l’artiste derrière elle. »

(Jacques Lindecker, L’Alsace)

« Un texte magnifique entre enquête et méditation. »

(Paloma de Boismorel, Gaël Magazine)

« Une suite d’analyse subtiles… un récit qui se concentre sur des moments où tout semble en vibra­tion vers l’inconnu. » « Une évocation surprenante et réussie. »

(Jean-Paul Gavard-Perret, Le Littéraire ; Le Salon littéraire)

« Rares sont les livres qui sont touchés par la grâce. Grâce d’une rencontre, d’une plongée sensorielle dans une vie picturale dont l’auteur retrace la genèse du dedans, avec une vue qui s’apparente à celle d’un plasticien… Par la magie d’un livre hanté, Van Gogh revient d’entre les morts et son monde acquiert une autre vie par la grâce du regard d’un écrivain qui décèle « l’éternel sous l’éphémère ». »

(coup de coeur de Véronique Bergen dans Le Carnet et les Instants)

« Il est assez fascinant d’accompagner Stéphane Lambert sur le chemin qu’il suit, depuis à présent des années, de peintre en peintre. […] En suivant ce chemin, c’est leur chemin qu’on suit – celui d’une quête, que l’écrivain belge mène en répétant la leur. À mesure que cette quête se déroule, l’écriture paraît progresser en direction d’une sorte d’ascèse, en s’éloignant toujours plus de l’autobiographie comme de la biographie […] ici, avec Van Gogh, le texte devient expérience, en tant que tel. […] Ekphrasis ? Non. Pas de description à proprement parler. Plutôt que d’évocation, il s’agit d’invocation, voire de possession : l’ambition est ici d’entrer dans le regard du peintre, de voir comme lui, d’être lui. »

(le nouveau blog littéraire de Pierre Ahnne)

« Vincent Van Gogh, l’éternel sous l’éphémère, c’est comme une lecture intime du peintre, parcours croisé ; un exercice délicat et réussi, pour revenir à l’artiste par les lieux. […] Van Gogh est avant tout une histoire de soleil – œil solaire – vers la consumation (sacrificielle diraient certains). Itinérance soleil fou, voilà la déambulation historico-visuelle du beau livre de Stéphane Lambert, qui nous laisse saisir finement cette oscillation vers l’extériorisation, la recherche d’une permanence au-delà de l’effervescence, de la folie ou de la peinture, ce qu’il reste à récolter. »

(Rodolphe Perez, Zone Critique

« Depuis quelques années, Stéphane Lambert confronte ses interrogations sur la vie et le monde aux tableaux de
grands maîtres. D’autres questionnent les philosophes ou les poètes, les religions ou les mathématiques. Lui, ce sont les génies qui, par la couleur et les traits, expriment l’image qu’ils se font du monde, l’idée qu’ils se font de la vie ou simplement de leur cœur. […] Ni biographe, ni critique d’art, Stéphane Lambert noue avec ses peintres une sorte de dialogue autour de leurs toiles, qu’elles lui parlent, le déconcertent, le transversent. Il y atteint une grande maitrise de l’écriture […] Vincent Van Gogh donc. L’écrivain s’est comme empli de ses toiles, de sa couleur jaune, de ses soleils, de ses tournesols, de ses champs de blé ou de fleurs… […] Et si l’art était une lumière projetée – sinon une réponse donnée – sur les questionnements des hommes depuis que les premiers d’entre eux, se redressant sur leurs jambes arrière, ont levé les yeux vers les images que les étoiles dessinaient dans le ciel ? »

(Jacques Franck, La Libre Belgique)

« Stéphane Lambert explore l’oeuvre de Van Gogh en mettant en lumière le geste créatif personnel qu’il implique, entre dessaisissement et compréhension de soi. »

(Maryse Emel, Nonfiction)

Stéphane Lambert a présenté son livre dans le cadre des émissions : Chambre avec vue animée par Camille De Rijck sur Musiq3/RTBF ; La Librairie Francophone animée par Emmanuel Khérad sur France Inter, La Première/RTBF, RTS et Radio Canada ; Entrez sans frapper animé par Jérôme Colin sur La Première/RTBF.


Lire un extrait.