01.02.2020 / Affaire Matzneff

Suite à la parution du livre Le Consentement de Vanessa Springora, Stéphane Lambert, auteur de Charlot aime Monsieur et de Mon corps mis à nu, où il revient sur sa propre expérience avec un pédocriminel à l’âge de 10 ans, est intervenu dans l’affaire Matzneff.

Le samedi 1er février 2020, il a dialogué avec Vanessa Springora dans l’émission radiophonique Dans quel monde on vit ? de Pascal Claude sur la Première/RTBF.

Le même jour, il a publié une tribune intitulée Ceci n’est pas un lynchage dans La Libre Belgique.

A cette occasion, le magazine Quinzaines (Nouvelle Quinzaine littéraire) lui a consacré un portrait dans son numéro du 1er avril 2020 :

« Stéphane Lambert ne livre pas un témoignage […] Il explore davantage la narration du corps, la perte du désir, dans une écriture lyrique et poétique […] Stéphane Lambert explore sa relation au corps et au désir avec patience, se détournant de la violence de l’expérience pour montrer toute la complexité et la fragilité de la vie sexuelle. Ce n’est pas une écriture de la frustration, ni un déballage outrancier […], mais une approche sensible et fine, une mise à nu du corps et de l’âme. […] Stéphane Lambert donne à penser qu’on peut faire de ce tabou une oeuvre littéraire inédite. » Valérie Rossignol

Nicolas de Staël – France Culture – 21.10.14

France Culture diffusera le mardi 21 octobre 2014 à 23h dans le cadre de l’émission L’Atelier fiction : Nicolas de Staël, portrait de l’artiste sur fond rouge de Stéphane Lambert.

1914-1955. L’existence de Nicolas de Staël aura été aussi fulgurante qu’intensément vécue et créative. Le Concert, la dernière œuvre que Staël peignit avant de mettre fin à ses jours, est un océan de rouge, comme si l’artiste y avait déversé tout le tragique de son parcours. Du décès brutal de ses parents quelques mois à peine après avoir fui la Russie bolchévique à celui inopiné de son premier amour, Jeannine Guillou, le peintre n’aura eu de cesse de se confronter à la dureté du vivant. Mais au sentiment de vertige qui l’habitait répondait une fièvre de création qui l’amena, sa vie durant, à traquer la lumière et à dépasser l’épreuve par une quête constante de renouvellement esthétique.

Réalisation : Etienne Vallès

Distribution :
Nicolas Vaude  (Nicolas de Staël)
Jana Bittnerova (la mère)
Brigitte Lecordier (Kolia)
Vladimir Ant (un soldat soviet)
Elsa Dupuy (Olga)
Jean O’Cotrell (Emmanuel Fricero)
Christiane Millet (Charlotte Fricero)
Slimane Yefsah (Jan Ten Kate)
Guillaume Marquet (Benoît Gilsoul)
Florence Le Corre (Madeleine Haupert)
Véronique Lechat  (Jeannine Guillou)
Emmanuel Lemire  (Félix Aublet)
Jérôme Fauvel (un garçon de café)
Laurent Cléry  (un critique)
Olivier Claverie (René Char)
Sophie Gubri (une opératrice téléphonique)
Jacques Garsi  (Paul Rosenberg)
Aurélie Billetdoux  (Jeanne)
Manon Leroy  (Françoise)
Et les voix de :
Elodie Hubert, Marina Moncade,  Eric Herson-Macarel, Nicolas Raccah, Déborah Marique, Julie Lavergne,Guillaume Tarbouriech, Julien Alluguette, Antoine Joly, Guillaume Burstyn, Jérôme Lifszyc, Anna Fournier, Olivier Pilloni, Samuel Charle, Etienne Launay

Bruitage : Elodie Fiat et Sophie Bissantz.
Assistance technique et montage : Arnaud Chappatte.
Prise de son et mixage : Olivier Dupré.
Assistant à la réalisation : Félix Levacher